Son Ki Hong - Il était une fois...une phrase à la con. Wesh !

(M/F) Love ? ★ -Toi et moi, nous sommes des acteurs, des comédiens qui avons maintes fois incarnés des personnages durant pas mal de pièces de théâtre. Il n’y avait pas vraiment d’alchimie positive, entre nous au début, tout au contraire, pourtant, sous les feux de la rampe, on nous disait unis et complémentaire, comme si plus rien autour n’existait. Et, nous répétons les scènes, tours à tours s’enflammant, tours à tours amis, tours à tours amants. Par bien des aspects, j’exècre ta présence à mes côtés en tant que toi mais je ne sais pas pourquoi, tout changea. Incarnant deux amants maudis, des martyrs d’une non-vie, deux âmes s’aimant dans l’immortalité, nous nous sommes rapprochés et ce qui devait arriver, ma foie, est arrivé. Je ne sais toujours pas s’il ne s’agit là que d’un oubli de la vraie vie et de ce fait, des personnages qui tentent de s’aimer à travers nous, oubliant que nous avons quitté la scène ou tout simplement, nos cœurs qui ont enfin appris à s’apprécier tels qu’ils le désirent réellement.

(F) Le passé a sa place ★ - Quelque chose émane de toi, comme une lumière. Une lumière vive et presqu’aveuglante. Tu es parfaite et je tiens tout particulièrement à pomper cette lumière jusqu’à la dernière parcelle de sa vie, de son existence. Comme ces saligots de moustiques, j’ai apposé mes marques sur toi et je ne lâcherais jamais jusqu’à ce que tu m’aies donné satisfaction, jusqu’à ce que je ne sois plus fasciné par ta personne. J’avoue, j’aime la beauté mais la tienne est d’autant plus déroutante, qu’elle vient naturellement du cœur. Tu as été ma première petite amie et je sais parfaitement que toi et moi, c’est fini depuis longtemps. Pourtant, je reste plus proche de toi, bien plus que je ne l’ai jamais été et je profite, bien malgré moi –sans te retourner la preille-, du fait que tu ne me dises jamais « non ». Enfin, si, tu essais. Et, plus tu tentes de me repousser, plus je veux aspirer à rester à tes côtés, cherchant la chaleur de ton cœur sans jamais de baisés, ni de gestes déplacés. Jusqu'à ce que tu me déteste ou que tu me repousse de toutes tes forces, je resterais.

(M) Potos pour la vie ★ -Toi, je t’aime pas. Tu me pousse dans mes derniers retranchements. Tu me pousse à bout. Et, je pleure des larmes de rages. Et, je ris de tristesse, de nerfs. Tu manipule mes émotions aussi facilement que l’on pourrait le faire avec un pantin. Tu m’énerve mais j’te kiff depuis toujours bro. On a fait les quatre-cent coup ensemble. On a tout vu, tout tester et on s’est même échangé des meufs mais ça c’était avant, t’as vu ? Avant que l’on se perde de vue. Et t’as débarqué comme ça, bim, dans ma vie et tu penses toujours me connaître ? Quel affront ! Quoi que je t’ai fait le même, sur le coup mais c’est pas la même chose. Quoi qu’il en soit, tu m’en as voulu d’être parti sans donner des nouvelles, sans t’expliquer le fin mot de l’histoire mais tu es revenu vers moi. Ou, peut-être est-ce moi ? Qu’importe. Couille 1 et couille 2 sont enfin réunis et gare à ceux que l’on aura choisi pour nos blagues les plus mauvaises huhuh

(F/m) D-E-G-A-G-E de ma vue ★ -Alors comme ça, t’es un pote de Ah In et tu réclame vengeance pour ton pote ? Tu vas faire quoi ? Me fracasser la tête dans une ruelle sordide ? Et tu voudrais que je te prenne au sérieux, quittant mon expression de désolation lorsque je pose les yeux sur toi ? Non, mais tu t’es bien regardé ? Amen à ta stupidité. Et, tu continu à me gonfler ? Tu ne me connais pas. Tu ne sais pas qui je suis. Dégage donc et hors de ma vue. Tu es indigne de mon attention. Fiche-moi la paix ou je te jure qu’en un claquement de doigts et un chèque à la direction, tu seras renvoyé de cette université, privé d’avenir.